|
22 juin : Journée nationale de réflexion sur le don d'organes et la greffe et de reconnaissance aux donneurs
Donneur ou pas…
Si les Français, en grande majorité, se déclarent favorables au don d'organes, ils sont bien moins nombreux à faire connaître leur position
à leurs proches. La France en situation de pénurie Le prélèvement d'organes n'est possible que dans des conditions rares. L'organe greffé (ou greffon) provient d'une personne décédée en état de mort encéphalique au sein d'un service de réanimation. Ce type de décès est provoqué par l'arrêt définitif du fonctionnement du cerveau, le plus souvent, suite à un accident vasculaire cérébral ou à un traumatisme crânien. Cette situation représente à peine plus de 1 % des décès hospitaliers enregistrés en court séjour, événement rare qui fait du greffon un bien très précieux pour les patients en attente de greffe. Malgré une mobilisation croissante, la France connaît toujours une situation de pénurie. En 2011, plus de 16 500 personnes ont eu besoin d'une greffe d'organes pour continuer à vivre ou à mieux vivre, seules 4 947 ont pu être greffées. Chaque année, le nombre de personnes inscrites sur la liste d'attente s'accroît et le décalage entre le nombre de nouveaux et le nombre de greffes effectivement réalisées s'accentue. La mobilisation de tous reste donc indispensable. Cette année encore, l'Agence de la biomédecine, qui a repris depuis 2005 les missions de l'Etablissement français des Greffes, entend sensibiliser le grand public sur le don d'organes et les greffes. La mobilisation de tous reste donc indispensable. Cette année encore, l'Agence de la biomédecine, qui reprend les missions de l'Etablissement français des Greffes, entend sensibiliser le grand public sur le don d'organes et les greffes. Pour en savoir plus, consultez : |
|
- Comparateur mutuelle
- Mutuelle
- Mutuelle santé
- Mutuelle et prévention
- Mutuelle Assurance
- Meilleure mutuelle
- Santé, Bien-être
- Solidarité
- Emploi Mutuelle
- Emploi Handicapé