Certaines personnes se posent encore la question : quel est le rapport entre notre alimentation et l’environnement ? Pourtant, ces deux éléments sont pratiquement inséparables. Depuis la culture dans les champs, jusqu’à nos assiettes, les impacts de nos nourritures sur l’environnement sont importants, tout particulièrement sur les ressources naturelles.

Répercussion sur la qualité de l’air

Les agriculteurs utilisent différentes sortes de produits tout au long de la production. La plupart du temps, ils émettent dans l’air des polluants chimiques et/ou naturels tels que les déjections animales, les engrais, les pesticides, les carburants, etc.

Répercussion sur la qualité des sols et de l’eau

Les cultures agricoles sont les plus grandes utilisatrices des terres. Et aujourd’hui, nous vivons dans un monde où il est plus question de productivité. La qualité vient juste après. On fait alors face à l’agriculture intensive. Un monde où l’utilisation des produits chimiques occupent plus de place. Cela entraine donc la pollution des sols. De plus, rappelons-nous que les sols fonts parties des ressources naturelles non renouvelables. Aussi, les impacts de ces activités humaines sont bien plus grands et peuvent atteindre les plantes, les animaux et même les êtres humains. Avec la pluie, ces polluants sont directement entrainés vers les rivières ou les nappes phréatiques.

Répercussion notable sur la consommation d’énergie

Pour pouvoir faire fonctionner les différents engins agricoles et tous autres types de machines de production, il faut avoir de l’énergie. De même, les différentes étapes qui permettent d’avoir des aliments sur les assiettes (transformation, stockage, transport, …) sont aussi des grandes dévoreuses d’énergies. A titre d’exemple, les réfrigérateurs sont des appareils très gourmands en énergie. Ce sont d’ailleurs les plus grands consommateurs d’énergies dans les magasins et les grandes surfaces. Aujourd’hui, certains magasins choisissent d’installer des réfrigérateurs qui conservent mieux le froid pour faire un minimum d’économie d’énergie.

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