L’agriculture écologique consiste à utiliser de nouveaux dispositifs de production qui permettent à la fois d’exploiter et de protéger l’environnement. Elle permet de donner naissance à de nouvelles pratiques qui garantissent une alimentation saine et un environnement durable. Pour réduire l’impact des industries humaines sur l’environnement, investir dans l’agriculture écologique se présente comme un pas décisif.

L’agriculture écologique, qu’est–ce exactement ?

L’agriculture écologique bénéficie de l’aide de l’agro écologie, une science destinée à étudier les processus écologiques dans le système agricole. Les recherches effectuées dans le cadre de cette science visent à mettre au point de nouvelles méthodes de production qui n’utilisent ni pesticides ni engrais chimiques ni OGM. Ceci en vue de réduire l’impact de ces composés sur la qualité du sol, sur la nappe phréatique et les eaux, sur le climat et sur la biodiversité.

En somme, l’agriculture écologique s’apparente grandement à l’agriculture artisanale. L’autre but de cette pratique vise en effet à réduire la quantité produite en misant sur la qualité de la récolte et la préservation du potentiel de production.

Les enjeux et intérêts

Grâce à l’agriculture écologique, il est possible de réduire le poids du pétrole sur l’économie mondiale. Cette pratique visant à réduire la production, la consommation de pétrole s’en retrouvera en effet impactée. De plus, elle vise aussi à favoriser la consommation locale ce qui réduit les intermédiaires entre le producteur et le client final. Dans cette bataille contre le poids du pétrole, l’agriculture écologique se présente ainsi comme une arme massive.

Ensuite, il convient de noter qu’avec l’agriculture écologique, les scientifiques cherchent à « guérir » la Terre et à prolonger son potentiel de production. En d’autres termes, l’agriculture écologique permettra à l’homme de produire mieux et plus longtemps. Enfin, l’agriculture écologique se présente comme la solution à la faim dans le monde. Selon les scientifiques, elle permet en effet de produire jusqu’à 80 % de plus à l’hectare que sa version industrielle.

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